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Le serveur discord

L'Onirisme

Démarré par Cody, Août 18, 2018, 03:05 pm

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Cody

Moi c'était de la merde parce que bizarrement c'est pas parce qu'on est dans un rêve qu'on apprend à se battre. En tout cas j'ai pas souvenir d'avoir fait quelque chose de ouf, je me souviens juste de Kait qui me crie des trucs et qui gueule sur les ennemis. Je sais même pas si je suis mort à la fin. jvhap
"De la peine ? Je n'ai pas de peine. Tu n'imagines pas le calvaire que je vis. C'est comme si on m'éventrait jour après jour et que je perdais mes tripes sur les rochers. Je ne comprends pas qu'aucun de vous n'ait vu tout ce sang..."

Cody

Sep 25, 2018, 08:09 pm #76 Dernière édition: Sep 25, 2018, 08:12 pm par Cody
J'ai fait un rêve et, pour une fois depuis longtemps, il ne s'est pas terminé parce que j'ai réalisé que j'étais en train de rêver.  jvpf
Enfin, c'était plutôt un cauchemar d'ailleurs.

Je vous passe les détails de la première partie parce que je m'en souviens pas très bien mais en plus parce que ce serait impossible à expliquer de manière cohérente. Mais en gros j'entendais deux animateurs de radio (Une radio de foot si j'ai bien compris ? Pourtant je m'intéresse jamais au foot) qui faisaient une émission sur des histoires très insolites qu'ils trouvaient marrantes. Moi je les trouvais extrêmement glauques. Je ne me voyais pas, j'étais pas devant une radio, en fait ce que je voyais ça alternait entre les deux animateurs en train de parler, puis les histoires qu'ils racontaient un peu comme des reportages. La dernière histoire dont je me souviens, c'est celle d'une très vieille dame qui devenait complètement folle, et ne se rendait plus compte qu'elle était vieille, elle devenait aussi autonome qu'un enfant avec le même niveau d'âge mental. Et une fille de genre 15 ans qui venait de perdre ses parents décide en quelque sorte "d'adopter" cette vieille et pour soulager la fin de sa vie de faire croire à la vieille qu'elle était toujours une petite fille, et de se faire passer pour sa mère. Et la vieille y croyait, elle pensait être toujours en enfance, elle avait oublié que sa propre mère était morte et elle prenait la gamine pour sa vrai mère. Mais j'ai pas compris pourquoi, la jeune fille a soudain eu des gros problèmes d'alcools/ drogue, c'est devenu une véritable épave, elle n'a pas pu continuer à s'occuper de la vieille, qu'on a dû placer en maison de retraite. Le fait de perdre sa "mère" ça a rendu la vieille encore plus folle, et la gamine a eu énormément de mal à se remettre après qu'on lui ai pris sa "fille". Et là, la gamine venait de redevenir à peu près clean (après 3 ans) mais c'était toujours une épave incapable de parler, et le moment émotion de l'émission c'était censé être leurs retrouvailles. La vieille est morte en pleurant et en disant "Maman... Maman..." en retrouvant sa "mère".

Puis l'un des animateurs a dit "Allez, maintenant l'histoire suivante ! L'histoire d'un jeune homme qui s'est fait tirer dessus !"

Et là j'ai commencé à "exister" dans le rêve. J'entendais plus la radio, plus d'animateur, plus rien, j'étais tout seul. Et j'avais très très mal au ventre.

J'étais tout seul, dans une ruelle, sous une pluie très violente, il faisait très très froid. J'ai baissé les yeux, j'avais les mains et le ventre couverts de sang.

Je (((suppose))) que j'étais sur l'île de Ré. En tout cas ça ressemblait vraiment à des ruelles de l'île de Ré, un peu comme ça :
Spoiler: MontrerCacher

Sauf qu'il n'y avait pas de fleurs, le ciel était très sombre, j'étais trempé par la pluie, je caillais, et putain j'avais mal.

Et là, il y a un petit texte blanc qui est apparu en bas de ma vision. Je sais pas si certains d'entre vous ont déjà joué aux jeux Telltale, pas moi, mais j'ai déjà vu quelques vidéos et c'est ce à quoi je pourrais le mieux le comparer. Vous savez, après une action, les textes dans un coin qui disent "Jean se souviendra de cela."

Là, le texte disait :
"Cody s'est fait tirer dessus. La balle a touché son foie et il perd beaucoup de sang."

Bon. J'ai commencé à avancer dans les ruelles. La pluie tombait toujours et je caillais toujours autant. Je sais pas pourquoi, mais j'hésitais pas sur le chemin à prendre dans les ruelles, qui étaient un putain de labyrinthe. Au bout de quelques instants un autre texte apparaît.

"Si Cody n'arrive pas à stopper l'hémorragie, ou s'il n'arrive pas à aller chercher des secours, il fera une [un mot étrange mais je sais pas pourquoi, je sais que ça signifiait que tous mes organes allaient cesser de fonctionner ou un truc du genre]."

Donc à ce moment j'ai su qu'en fait l'endroit vers où je me dirigeais c'était là où je pourrais avoir du secours.
Je sais pas exactement combien de temps j'ai passé à tituber dans les ruelles, à me tripoter le ventre pour essayer de sortir la balle ou au moins compresser et faire stopper le saignement. Je sais pas pourquoi, mais au bout d'un moment j'ai soudain su que j'avais trop essayé, que j'avais fait qu'aggraver la situation et que c'était complètement foutu. C'était assez horrible, j'étais tout seul, trempé, dans un froid glacial en train de me vider de mon sang et j'allais mourir. Au réveil, j'avais l'impression que j'avais passé un loooong moment comme ça.
Bref, finalement j'arrive devant la porte d'une cours qui n'avait absolument rien de différent avec le reste de ce que j'avais vu dans les ruelles. Je savais quand même que c'était là où je devais demander de l'aide. Il y a plusieurs sonnettes, mais une fois de plus je sais tout naturellement laquelle je dois presser. J'approche ma main pour appuyer.
Et là je sens comme si j'avais une crampe dans tout le corps ou comme si je me prenais un choc électrique énorme. Je comprends que la [truc qui veut dire que tous mes organes ont lâché] vient d'arriver. Je tombe en arrière, les yeux vers le ciel noir. Et je meurs.

J'ai pas souvenir d'un rêve aussi traumatisant depuis extrêmement longtemps.
"De la peine ? Je n'ai pas de peine. Tu n'imagines pas le calvaire que je vis. C'est comme si on m'éventrait jour après jour et que je perdais mes tripes sur les rochers. Je ne comprends pas qu'aucun de vous n'ait vu tout ce sang..."

Kait

Honnêtement c'est passionnant.  jvnoel

Ce topic était décidément une bonne idée. En plus le fait d'en parler régulièrement aide beaucoup à se souvenir de ses rêves, c'est chouette.

Cody

je suis pas fou hein
"De la peine ? Je n'ai pas de peine. Tu n'imagines pas le calvaire que je vis. C'est comme si on m'éventrait jour après jour et que je perdais mes tripes sur les rochers. Je ne comprends pas qu'aucun de vous n'ait vu tout ce sang..."

Notaproblem

CiterRêve de Cody

Crever est une sensation assez horrible, hein ? Et pourtant, en rêve, le corps réagit exactement comme il le ferait en vrai. C'est pour ça que 90% des gens se réveillent à leur mort.

C'est fascinant, d'ailleurs, parce-que le moment le plus réaliste de ton rêve, c'est que t'es une victime confirmée du syndrome du témoin. T'aura bien consciencieusement croisé personne alors que tu en cherchais, on est d'accord ? Et quand-bien même t'aurais appuyé sur la sonnette, est-ce que quelqu'un aurait ouvert ?

Quelque-chose ne va pas ? jvhap

Cody

Sep 25, 2018, 09:05 pm #80 Dernière édition: Sep 25, 2018, 09:13 pm par Cody
Cela dit, Kait a raison, ça fait plusieurs fois en peu de temps que je me souviens de mes rêves, alors qu'avant c'était le néant au réveil. jv:(

CiterC'est fascinant, d'ailleurs, parce-que le moment le plus réaliste de ton rêve, c'est que t'es une victime confirmée du syndrome du témoin.

Bah, euh, l'effet témoin, c'est pas quand justement il y a beaucoup de monde autour ? Là j'étais vraiment seul de chez seul, personne dans les ruelles, personne dans la cours de la maison où j'ai voulu sonner.
En fait je me demande surtout si j'avais une chance de m'en sortir ou pas. Est-ce que j'aurais pu arrêter le saignement ? Est-ce que si j'avais pas foutu le bordel dans mon bide j'aurais pu atteindre la porte à temps ? Ou est-ce que de toute manière la mort était programmée ?

Aussi je remarque que ce rêve m'a déprimé pendant deux jours, c'est bizarre qu'un rêve impacte autant mon humeur. Je l'ai eu dans la nuit de dimanche quand même.

Edit : Je précise que non, je cherchais personne. Je savais juste qu'il y avait un endroit où je devais aller et j'essayais de l'atteindre. Je pensais pas trouver de l'aide dans la rue.
"De la peine ? Je n'ai pas de peine. Tu n'imagines pas le calvaire que je vis. C'est comme si on m'éventrait jour après jour et que je perdais mes tripes sur les rochers. Je ne comprends pas qu'aucun de vous n'ait vu tout ce sang..."

Usul

J'aimerais me souvenir de mes rêves. jv:-(

... Bon je me souviens d'UN rêve, ou plutôt d'un cauchemar que j'avais fait il y a presque quinze ans. Et maintenant que j'y repense c'était peut-être plus un cas léger de paralysie du sommeil (aidé par une fièvre assez terrible) qu'un rêve. Ou juste la fièvre. En tous cas j'étais immobile, incapable de voir ou de ressentir autre chose que mon corps, terrifié par la situation. Je m'imaginais dans une plaine ou un champ de bataille je crois, allez savoir pourquoi. C'était très désagréable et ça m'a très certainement marqué pour que je m'en souvienne après autant de temps.

Il y avait certainement plus de détails mais ce topic est quinze ans trop tard pour que je m'en rappelle. jvhap

Cody

Tu vas pas me dire que c'est le seul rêve en 15 ans dont tu te souviennes quand même ? jvhap

T'avais du voir un film avec une bataille et ça t'avait fait peur, un truc comme ça. C'est peut-être bien une paralysie du sommeil puisque tu dis que tu t'imaginais, or pendant une paralysie du sommeil on ne peut justement s'empêcher d'imaginer soi-même ce qui nous effraye.

C'est marrant cela dit, je pense qu'on a tous fait au moins un cauchemar quand on était petit, dont on se souvient toujours longtemps après. jvhap
"De la peine ? Je n'ai pas de peine. Tu n'imagines pas le calvaire que je vis. C'est comme si on m'éventrait jour après jour et que je perdais mes tripes sur les rochers. Je ne comprends pas qu'aucun de vous n'ait vu tout ce sang..."

Usul

Citation de: Cody le Sep 25, 2018, 09:41 pmTu vas pas me dire que c'est le seul rêve en 15 ans dont tu te souviennes quand même ? jvhap

En ce moment alors que j'écris ce post? Si. jvhap

CiterC'est marrant cela dit, je pense qu'on a tous fait au moins un cauchemar quand on était petit, dont on se souvient toujours longtemps après. jvhap

Oui je pense que c'est assez courant. jvhap

Kait

CiterJ'aimerais me souvenir de mes rêves. jv:-(

L'expérience prouve qu'essayer de se souvenir de ses rêves est une méthode efficace pour effectivement s'en souvenir.  jvnoel

Usul

C'était donc ça. stkistuhm

Cody

J'ai fait un rêve dont l'intérêt n'est pas l'histoire en elle-même mais la réflexion que j'en ai tiré. En gros je zap, mais pendant tout le rêve je sens que je vais mourir, je meurs, et je deviens une sorte de fantôme.

Et là j'ai eu l'impression de me tenir au bord d'un énoooooooorme gouffre. Pas littéralement un gouffre, en fait j'avais plutôt le sentiment d'être écrasé par l'immensité de quelque chose de si gigantesque que je ne pouvais pas le visualiser :

L'éternité d'une vie après la mort.

Je veux dire, imaginons qu'il y a bien quelque chose après. On va dans le monde des esprits ou n'importe quoi. Mais on est mort, on ne peut plus mourir, on arrive enfin à un stade "définitif" de notre existence. En fait on ne peut plus rien espérer de nouveau, alors que ce qui nous fait nous lever le matin c'est l'envie de changer des choses, l'espoir que notre situation va bouger, ne serait-ce que pour se divertir. Mais là on est mort, plus qu'une sorte d'âme. Peu importe qu'on soit un spectre qui reste sur Terre ou bien qu'on rejoigne un paradis pour y vivre éternellement heureux : aucune de nos actions n'aura plus d'influence, donc on n'aura plus vraiment de raison d'exister. C'est donc ce que je vais appeler "l'ennui après la mort". Après quelques siècles, ou rien que quelques heures, on en aura marre. On ne peut rien faire.

Mais en même temps, j'ai dit que ce qui nous fait nous lever le matin c'est la possibilité de faire des choses. J'ai aussi réalisé que ce qui nous fait nous coucher le soir, c'est pas seulement la fatigue physique ou le besoin de traiter les événements de la journée : c'est le besoin d'en finir. Comme quand on arrête de jouer à un jeu vidéo après quelques heures parce que même si on l'aime bien, on est lassé, on a besoin de dormir parce qu'on a un besoin de "non-exister", Au bout d'un moment, on veut juste arrêter de faire des choses, peut-être même de laisser le monde s'écouler pour y trouver de nouvelles choses à faire. Au final l'envie de dormir, c'est un mini-désir de mort.

Sauf que, dans une vie après la mort, on ne peut JAMAIS en finir ! Enfin, peut-être qu'on pourrait aller dormir, j'en sais rien, ça n'a pas d'importance. Ce que je veux dire, c'est que dans un monde où nos actions n'ont aucune conséquence et où on est éternel donc pas important, on éprouverait très rapidement cette envie de dormir, de manière définitive. Mais on ne peut pas, l'éternité est une condamnation.

Ça me fait donc me dire que le néant est préférable à un paradis ou une quelconque forme d'existence spirituelle. Le "rien" après la mort serait une satisfaction ultime du besoin de "non-exister", peut-être même que la prise de conscience qu'on n'aura plus besoin de se lever le matin a quelque chose de rassurant quand on arrive juste devant.

Bien sûr il me manque des choses que j'ignore, et je n'arrive pas à écrire ici exactement ce que je ressens. Je n'affirme pas qu'il y a une vie après la mort ou qu'au contraire il n'y a rien, j'estime juste qu'au final la deuxième option serait peut-être préférable à la première. Enfin, avec mon état d'esprit actuel. Si ça se trouve il y a une vie après la mort, qui prend une profondeur et des enjeux nouveaux, peut-être que je raisonne en 2D dans un environnement en 3D. Mais je pense que, d'un seul coup, j'ai compris le sens de l'expression "repos éternel".

Vous en pensez quoi ?
"De la peine ? Je n'ai pas de peine. Tu n'imagines pas le calvaire que je vis. C'est comme si on m'éventrait jour après jour et que je perdais mes tripes sur les rochers. Je ne comprends pas qu'aucun de vous n'ait vu tout ce sang..."

Notaproblem

J'en pense que c'est en ayant réussi à visualiser ça sur pari de mon père (D'ailleurs sur même pari, j'ai aussi visualisé le néant absolu) que j'ai ressenti ma plus grande angoisse et ce rêve de devenir immortel, un jour.

J'y arriverai probablement pas.

Alors j'ai pris le pari des enfers grecs. Un endroit où la vie ressemble à celle sur Terre, mais où, ultimement, aucune progression n'est possible.

Et j'ai foutu ça dans une dimension parallèle, dans l'espace.

Et ça me rassure. Des questions ? jvhap

Tiens d'ailleurs en parlant de rêve, j'ai bien dormi cette nuit.

Sauf que j'étais sensé me lever a 6h et que ce putain de réveil n'a pas sonné.

Mon rêve était pas vraiment intéressant. J'étais dans une espèce de taverne et je discutais de tout et de rien avec les gens a l'intérieur. Puis je me suis réveillé quand quelqu'un rentrait en annonçant "Je t'ai manqué ?"
Quelque-chose ne va pas ? jvhap

Cody

Et il t'avait manqué ?

Spoiler: MontrerCacher
Désolé mais j'ai pas compris le sens du début de ton message. jvhap
"De la peine ? Je n'ai pas de peine. Tu n'imagines pas le calvaire que je vis. C'est comme si on m'éventrait jour après jour et que je perdais mes tripes sur les rochers. Je ne comprends pas qu'aucun de vous n'ait vu tout ce sang..."

Notaproblem

Nov 02, 2018, 02:00 pm #89 Dernière édition: Nov 02, 2018, 02:02 pm par Notaproblem
Tiens j'avais jamais vu que t'avais répondu jvhap

J'saurais pas dire, j'me rappelle encore de ce rêve, et depuis ça s'enchaîne, les nuits de merde.

La le dernier rêve en date j'étais dans un amphi que j'avais jamais vu, de nuit, en train d'essayer de suivre un cours tout en tentant de virer une planche de charpenterie du bain ou j'étais.

A la fin le prof' est venu me voir pour me foutre la misère en public, mais comme j'ai l'habitude j'ai déjoué sa tentative et JE lui ai mis sa misère en publique. Avec le poids des mots, les sauvages. Pas avec mes phalanges.

Puis en sortant j'ai commencé à voir dans le reflet d'un miroir trois mecs derrière moi. J'ai pris un tournant inutile, ils me suivaient toujours.

Décidé à rester en vie, j'ai piqué un sprint et je me suis réfugié dans un bureau ouvert, derrière du matériel de concierge et du sol mouillé. En sautant par dessus le tout, je me suis réfugié dans la pièce et fermé la porte avec le verrou.

Tandis que ça tambourinait, j'ai fouillé le PC du bureau, parce-que je suis un cherche-merde.

Y'avait un fichier avec mon nom que j'ai voulu encoder sur ma clé USB.

Ma clé était mal foutue. Son modèle d'activation incluait une putain d'application en plein écran sans souris. Un scandale quand on est un adepte du cliquer-déplacer.

J'arrive à me démerder.

Je reçois un message : Un mec dit "J0ker, fais gaffe. Mr.Je-sais-plus vient d'annoncer publiquement à la télé qu'il était au courant de ton intrusion et qu'il allait te démolir."

Mon nom n'est pas J0ker. C'est Phyro. Phyrys, ou Notaproblem au mieux.

Ce type est un abruti. Et l'autre tout pareil. Et j'allais leur prouver. Rien de plus facile.

Je continue de fouiller le PC, à la recherche d'autre chose. Quelque-chose pour assurer mes arrières.

Oho, le dossier inavouable de tout le monde... Un classique. Emballé, c'est pesé. Je me casse de là par la fenêtre.

J'me rends compte que j'ai oublié de taxer le porte-monnaie jvhap

Je re-rentre. Les types avaient déjà défoncé la porte, étaient venus et repartis. Je repasse par la fenêtre, sous les yeux d'un couloir qui regarde même pas la scène, trop occupés à voir les mecs se barrer, probablement, et je taxe le précieux conteneur a pécule.

Et en fuyant je suis tombé dans une maison où ça a viré à l'affrontement aux armes a feu et mon réveil à sonné.

Ouais, c'est ce matin.

Y'en avait aussi un que j'ai réalisé en m'effondrant dans le restaurant universitaire et qui incluait moi dans un train m'embrouillant avec quelqu'un qui, malgré mes tentatives pour le calmer, avait entrepris d'essayer de me planter.

Long-story short, j'ai retourné l'arme contre lui, compris qu'il voudrait jamais mourir et je l'ai balancé par la fenêtre du train direction les rails.

J'me suis réveillé, j'avais du mal à suivre le cours de neuropsychologie.
Quelque-chose ne va pas ? jvhap

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