Avr 19, 2024, 10:44 am

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Le serveur discord

[Quête] Synthetic Dream

Démarré par HungarianCerveza, Mar 23, 2019, 01:08 am

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HungarianCerveza

Vous retournez vers le groupe de clodos un peu plus loin, avec votre valise dans la main. Celle avec qui vous parliez quelques secondes plus tôt est là aussi. Tous les regards sont tournés vers vous.


"Vous...vous savez quelque chose sur cette valise ?"

Ils ne répondent pas. La clodo s'avance et sort du groupe.


"Y'en a beaucoup des valises, je vois pas ce que tu attends de nous."


"Oui mais...cette valise en particulier. Tu l'as déjà vu ?"

Vous levez le bras pour leur montrer la valise, mais vous hésitez à les laisser la toucher et reculez d'un demi-pas.


"C'est possible, mais c'est un modèle assez courant. Et puis je m'amuse pas à essayer de me souvenir de toutes les valises que je vois au quotidien. Qu'est-ce qu'on est censé savoir sur celle-là ?"


> "Qui l'a mis ici, sous le pont."
> "Ce qu'elle contient."
> "Rien de spécial, seulement si vous l'avez déjà vu."
> "Si vous avez vu un mec cacher cette valise sous le pont, récemment."
> "Bon écoutez, j'ai vu cette valise dans un rêve et j'ai besoin de savoir d'où elle provient. Si ce que je sais est vrai, alors j'aurais appris certaines choses très utiles pour l'avenir."
> "Laissez tomber, vous ne me serez d'aucune utilité."
> Autre
"Ma plante en plastique a fané. J'ai oublié de faire semblant de l'arroser."
- Mitch Hedberg

Cody

Putain mais y a eu une suite ?!  jvouch

> "Qui l'a mis ici, sous le pont."
"De la peine ? Je n'ai pas de peine. Tu n'imagines pas le calvaire que je vis. C'est comme si on m'éventrait jour après jour et que je perdais mes tripes sur les rochers. Je ne comprends pas qu'aucun de vous n'ait vu tout ce sang..."

HungarianCerveza


"Je voudrais savoir qui l'a mis ici, sous le pont."


"J'en sais rien, mais en général, quand quelqu'un vient cacher quelque chose, dans un coin pareil de Miraillis, c'est que c'est pas du joli. Je te veux aucun mal, meuf, mais tu devrais pas trop t'attacher à cette valise. Si tu veux mon avis, elle contient des saloperies. Ou elle en contenait, en fait, j'en sais rien. T'as qu'à l'ouvrir."

Un clodo au regard vitreux s'approche de vous, et tente de poser sa main sur la valise. Par réflexe, vous reculez en mettant une main devant vous, pour vous forcer à garder une espèce de distance de sécurité (bien que vous pourriez tabasser ce clodo, en un contre un, sans problèmes). Il ne faudrait pas trop trainer aux milieu de ces malades mentaux toxicomanes.


"Tu devrais peut-être t'en aller avec la valise. Ou même t'en débarrasser. En fait, je sais pas, mais restes pas là."

Vous voilà bien avancée. Par précaution, vous vous éloignez de la zone et retournez dans des quartiers un peu plus familiers.


Vous avez ramené la valise à votre appartement, il est plus de 22 heures. Des gouttelettes d'eau dégoulinent du cuir pour laisser des traces sur votre parquet. Beurk. Vous posez ça par terre, dans un coin, pour éviter de salir votre appartement.

Vous observez un peu la valise, et voyez qu'elle s'ouvre à l'aide d'un code à 3 chiffres. Mais l'espèce de cadenas qui retient le tout n'a pas l'air très solide. En forçant un peu, vous devriez pouvoir déchirer une couture, un truc du genre.

> Forcer pour ouvrir
> Essayer de vous souvenir du code que vous avez vu dans vos rêves
> Dormir pour voir le code dans vos rêves
> Balancer cette merde par la fenêtre
> Envoyer un message à Karine
> Envoyer un message au professeur Saint-Honoré
> Laisser ça de coté et retourner mater des yaoi
"Ma plante en plastique a fané. J'ai oublié de faire semblant de l'arroser."
- Mitch Hedberg

Notaproblem

Avr 24, 2019, 08:43 pm #78 Dernière édition: Avr 24, 2019, 08:51 pm par Notaproblem
Un cadenas à trois chiffres ? Sérieusement ?

Le dernier que j'ai forcé c'était le jour avant les vacances pour vérifier si oui ou non y'avait vraiment des gens pour se servir d'une poubelle pour montures de lunettes (Je jure que ça existe (Et, bizarrement, après avoir fait sauter ce pitoyable simulacre de sécurité, il s'est avéré que la poubelle était vide)) et c'était tellement pas crédible que même les agents d'entretiens l'ont jamais refermé.

> Faire tourner le cadran le plus en bas du cadenas en tirant sur celui-ci jusqu'à ce qu'il se décroche. Répéter l'opération avec les suivants.

Si le cadenas est soudé à la valise, faire tourner le cadran le plus à droite en tirant sur le coin de la valise jusqu'à ce qu'il se décroche. Répéter l'opération avec les suivants.

Edit : Vu que ça prend deux minutes montre en main : faire ça regarder le contenu pour s'assurer que oh surprise ce sont des flingues et retourner mater des yaoi d'un air blasé.
Quelque-chose ne va pas ? jvhap

Cody

HungarianCerveza utilise "Univers de fiction".

Ce n'est pas très efficace.

NotaProblem utilise "Expérience personnelle".

C'est très efficace.

HungarianCerveza est confus.

HungarianCerveza se blesse dans sa confusion.
"De la peine ? Je n'ai pas de peine. Tu n'imagines pas le calvaire que je vis. C'est comme si on m'éventrait jour après jour et que je perdais mes tripes sur les rochers. Je ne comprends pas qu'aucun de vous n'ait vu tout ce sang..."

HungarianCerveza

Vous utilisez une technique de ninja pour ouvrir la valise. Le cadenas est un peu endommagé et les petites roues ne tournent pas facilement ; cependant, vous arrivez à en venir à bout après quelques minutes de trituration. La valise s'ouvre enfin, mais son contenu n'est pas exactement ce à quoi vous vous attendiez.

Vous aviez déjà remarqué, en prenant la valise, qu'elle paraissait légère ; et maintenant, vous comprenez pourquoi. Il n'y a pas d'arme à l'intérieur, probablement car quelqu'un les a enlevées -ou peut-être qu'elles n'ont jamais été là en premier lieu-, mais il y a des munitions. Des balles de pistolet, principalement.

> Chercher si il n'y a pas un truc caché dans la doublure, un nom, quelque chose
> Ranger le tout et s'en débarrasser
> Envoyer un message paniqué à Karine
> Sortir pour voir si un magasin d'armes ne serait pas ouvert, histoire de tester la marchandise
> Mettre ça de coté et retourner s'amuser avec un yaoi et un concombre
"Ma plante en plastique a fané. J'ai oublié de faire semblant de l'arroser."
- Mitch Hedberg

Cody

> Envoyer un message paniqué à Karine

Ça m'a l'air d'être la meilleure chose à faire. Soit elle nous veut du mal et du coup on la grillera facilement, soit elle sait des choses et elle pourra nous aider.
"De la peine ? Je n'ai pas de peine. Tu n'imagines pas le calvaire que je vis. C'est comme si on m'éventrait jour après jour et que je perdais mes tripes sur les rochers. Je ne comprends pas qu'aucun de vous n'ait vu tout ce sang..."

HungarianCerveza

Vous prenez votre portable et écrivez à Karine. Vos mains tremblent légèrement, c'est difficile de taper votre message correctement.


(par écrit) "J'ai trouvé un truc que j'ai vu dans un rêve. J'ai besoin de vous pour savoir si je dois m'en inquiéter ou pas, je suis un peu perdue là."

Vous ne vous attendez pas à une réponse immédiate ; après tout, il est quasiment 23h. Mais, une petite dizaine de minutes plus tard, votre portable vibre.


"C'est pas très clair par message, mais c'est potentiellement une information importante. Je vais prévenir le professeur Saint-Honoré et il vous recontactera au plus vite."

Vous mettez votre portable de coté. Voilà, vous avez mis le doigt dans l'engrenage ; maintenant, vous allez commencer à avoir des réponses à vos questions...



"Comment vous vous sentez, Élisa ?"


"Fatiguée. Je me suis couchée tard hier, et vous m'avez forcée à me lever à 7 heures...j'ai même pas eu le temps de prendre une douche."


"Je sais, je suis désolé. Mais je devais vous voir le plus vite possible. Rassurez-vous, vous aurez tout le reste de la journée pour dormir. De toute façon, je n'avais pas d'autre créneau, le commissaire Thouvenin ici présent ne sera plus disponible après 8h30."

Le chirurgien vous montre, avec son pouce, l'homme au visage fermé qui se tient debout derrière lui. Il n'a pas l'air commode, mais vu que le chirurgien lui a donné rendez-vous à une heure pas possible, tout comme vous, vous comprenez qu'il puisse avoir la tête dans le cul. Vous remarquez que son visage ne vous est pas entièrement inconnu.


"Oui et d'ailleurs, je n'ai pas trop de temps à perdre, professeur. Montrez-moi ce dont vous vouliez me parler, qu'on règle ça en vitesse."


"Madame D'Isigny suit la patiente depuis le début de l'affaire, elle vous expliquera. Allez-y."


"Alors voilà. Élisa est une ancienne militaire qui a fait un grave chute lors d'un exercice d'entrainement. Elle a souffert de nombreuses fractures, plusieurs de ses organes ont été endommagés au point de ne plus fonctionner, et, à de nombreux endroits, son système nerveux a été détruit. En théorie, avec tous les organes qui ont cessé de fonctionner et tous les traumatismes qu'elle a subi, elle aurait dû mourir en moins de..."


"Nan alors, épargnez-moi le gloubi-boulga médical, dites-moi juste en quoi vous avez besoin de moi."


"Euh oui...donc, on a implanté plus d'une centaine de composants électroniques dans le corps d'Élisa pour la maintenir en vie, y compris dans sa nuque, très prêt du cervelet. Et apparemment, ces composants lui envoient des signaux dans son sommeil..."


"En gros, elle fait des rêves. Elle se voit dans un poste de police, elle se voit discuter avec des collègues policiers, et surtout...elle se voit se faire tuer sur un parking. Comme l'agent Stepanoff."


"Vous vous moquez de moi professeur ? Tout ça parce qu'une fille fait des rêves vaguement en lien avec ce qui est arrivé à Joseph, vous me faites venir à une heure improbable ?"


"Commissaire, écoutez-moi. Une partie des implants qu'on a utilisé pour sauver la vie de la patiente venait des prothèses neurologiques de l'agent Stepanoff. Et ces implants fonctionnent selon un système adaptatif d'apprentissage profond. Madame Leriam arrive à lire les informations retenues par les implants, il faut en profiter avant que le système d'apprentissage profond des puces n'efface ces infos pour les remplacer par des nouvelles."


"Désolé mais je pense que vous avez trop regardé l'Homme qui valait trois milliards. On arrive tout juste à améliorer nos sens artificiellement, et vous voudriez me faire croire que cette fille est en vie grâce à des implants apposés lors d'une opération urgente ? Et puis pourquoi je la croirais ? Qui me dit que l'accident ne l'a pas juste rendu schizophrène ?"


"Vous n'êtes pas très collaboratif. Ça ne vous coutera rien de lui poser quelques questions. Elle peut vous être utile pour retrouver l'assassin de Joseph Stepanoff."


"J'en doute fortement. Qu'est-ce qui me prouve que cette fille pourrait m'aider dans une affaire qui semble bloquée depuis des mois ? Hein ? Qu'est-ce que vous savez qui pourrait me convaincre de m'intéresser à vous ?"

>"J'ai trouvé une valise avec des munitions dedans. Je l'ai trouvée car je l'avais vu dans un rêve."
>"Je sais que tous les flics de votre commissariat écrasent leur clope sur le même rebord de fenêtre. Je pourrais même vous montrer l'endroit, si vous m'emmenez avec vous."
>"Je me souviens du visage de l'assassin. C'était un petit asiatique glabre aux cheveux gominés."
>"Vous avez raison. Le choc m'a tourneboulée, je ne sais plus où j'en suis."
>"Parlez-moi plus gentiment. Je ne comprends rien à ce que vous baragouinez, et j'ai aucunement envie de discuter avec quelqu'un d'aussi méprisant que vous. Et puis j'ai fait l'armée, alors croyez-moi, en terme de vécu, vous êtes loin, très loin derrière moi."
>"On s'est pas déjà vu quelque part, nous deux ?"
>"C'était qui, cet agent Stepanoff ?"
>"Attendez...on m'a foutu des implants qui ont appartenu à un macchabée ?"
>"Hey, j'ai pas demandé à ce qu'on m'implique là-dedans moi. Je sais pas pourquoi JE devrais vous faire confiance, parce que de toute façon, je ne peux faire confiance à personne ici. Alors c'est VOUS qui allez devoir me prouver que vous me serez utile, parce que moi, dans deux heures, je serai dans mon appart' à me chatouiller en regardant des hommes musclés s'embrasser, et j'en n'aurais plus rien à branler de vos histoires."
>Autre chose
>Ne rien dire
"Ma plante en plastique a fané. J'ai oublié de faire semblant de l'arroser."
- Mitch Hedberg

Cody

J'aime beaucoup ce commissaire.  jvhap

Personnellement, ma première réaction serait "Vous m'avez collé des morceaux de mort dans la nuque ?!", mais juste pour nous la péter je suggère de partir sur :

>"Je sais que tous les flics de votre commissariat écrasent leur clope sur le même rebord de fenêtre. Je pourrais même vous montrer l'endroit, si vous m'emmenez avec vous."

Même si en vrai j'aimerais mieux qu'on ait une info plus précise et qui peut pas se voir de l'extérieur du bâtiment. Genre, on est pas au courant d'une inscription dans les chiottes des flics ? Ou d'un poster dans le bureau du commissaire ?
"De la peine ? Je n'ai pas de peine. Tu n'imagines pas le calvaire que je vis. C'est comme si on m'éventrait jour après jour et que je perdais mes tripes sur les rochers. Je ne comprends pas qu'aucun de vous n'ait vu tout ce sang..."

Notaproblem

Soyons plus directs

> Faire comme Cody, puis mettre un moche taquet au chirurgien en grinçant "Vous m'avez fait chier avec vos histoires de Redbull et de sport alors que ça m'aurait épargné des nuits blanches de me dire que vous étiez trop pauvres pour faire des implants neufs ?"
Quelque-chose ne va pas ? jvhap

HungarianCerveza

Vous choisissez de mentionner l'information la plus inutilement précise que vous avez en tête : le fait que les flics du commissariat de Miraillis fument toujours au même endroit, et écrasent tous leurs mégots sur l'exact même rebord de fenêtre depuis des années. Ça peut sembler bizarre de prime abord, mais ce genre de détail un peu ridicule ne peut réellement être connu QUE de quelqu'un qui a été sur les lieux, et qui fréquente des policiers au quotidien. Quelqu'un qui est extérieur à ce milieu n'aurait aucun intérêt à savoir ça.


"Je sais que tous les flics de votre commissariat écrasent leur clope sur le même rebord de fenêtre. Je pourrais même vous montrer l'endroit, si vous m'emmenez avec vous."

A voir la réaction du flic, vous avez dit la bonne chose.


"Ça ne prouve rien. C'est peut-être un détail que vous avez remarqué en passant devant le commissariat. Ou peut-être juste que vous avez des proches dans la police qui vous en ont parlé."


"Non, le rebord est dans la cour intérieure. Il faut entrer dans le commissariat et le traverser pour voir où ça se trouve. Et je connais aucun des flics de cette ville ; je peux aller sur place et vous prouvez que je ne mens pas, si vous voulez."

Vous êtes à peu près certaine que le flic pense que vous bluffez.


"Très bien. Je vais rentrer au comico, vous venez avec moi. Vous allez m'indiquer ce fameux rebord de fenêtre. Je ne dis pas que ça constitue une preuve tangible de quoi que ce soit, mais vous semblez sûre de votre fait."


"Au contraire, ça prouve pas mal de choses. Ça prouve que j'ai les souvenirs de votre collègue Joseph, quelque part dans les puces électroniques implantées dans mon cerveau, et que moi seule pourra vous aider à découvrir ce qui lui est arrivé."


"Croyez-moi, c'est une affaire beaucoup plus difficile à gérer que vous ne semblez le croire. J'en sais quelque chose. Joseph en savait quelque chose lui aussi."

Le commissaire Thouvenin soupire, puis marche lentement vers la porte, en se tenant très droit, avec les mains dans les poches de son impair.


"C'est pas la première fois qu'une folle se ramène pour me dire qu'elle a eu des visions, j'ai déjà perdu énormément de temps avec ce genre de fausses voyantes, sur des affaires d'enlèvements ou de disparition...mais puisque vous semblez convaincue...venez avec moi."

Vous suivez le commissaire, déjà toute fière à l'idée de lui montrer que vous n'êtes pas folle. Tandis qu'il s'éloigne sans vous attendre, vous adressez un dernier regard au chirurgien et à la psychologue.


"Vous ne m'aviez pas dit que vous aviez collé des morceaux de cadavre dans mon corps ! C'était bien la peine de me demander de boire de la RedBull et de faire du sport..."


"C'est une longue histoire Élisa, je vous expliquerai une autre fois. Les souvenirs étaient en vous depuis le moment où on a implanté certains composants, mais il fallait certainement l'intervention d'un élément extérieur pour qu'ils soient sollicités par votre cerveau,
comme une boisson ou n,'importe quel truc qui a un effet sur votre système nerveux...méfiez-vous tout de même : le puces sont faites pour s'adapter à leur utilisateur au fil du temps. Si il y a des souvenirs que vous n'avez pas encore fait remonter, ils risqueront de se faire effacer durant les prochains mois."


"Nan mais ça ne répond pas à ma remarque : qu'est-ce qui vous a pris de prendre un truc sur un cadavre pour me le mettre dans mon corps ?"


"Si vous voulez, en reparlera ce midi, au café où on a l'habitude de se retrouver. D'accord ?"

Vous acquiescez d'un subtil hochement de tête, mais l'expression de votre visage trahit une certaine frustration qu'on ne vous ait pas dit toute la vérité dés le début. Puis vous rejoignez prestement le commissaire Thouvenin...




"Très bien, montrez-moi."

En entrant dans les locaux du commissariat de police de Miraillis, vous ne pouvez vous empêchez de ressentir une pointe de nervosité, en constatant que votre environnement est exactement comme dans vos rêves, à quelques détails près. Vous avez déjà vu cet endroit, vous le connaissez, vous avez déjà vu certains des visages autour de vous, vous avez déjà parlé à ces gens...enfin, justement, non, vous ne l'avez jamais vu, mais vous vous en souvenez.

Vous mettez de coté ce sentiment étrange de déjà-vu, et foncez droit vers une petite porte du fond qui débouche sur une cour intérieure. Une fois la porte franchie, vous avancez jusqu'au rebord de fenêtre que vous pensez reconnaitre. Mais là, surprise : le rebord de la fenêtre est parfaitement clean. Un peu trop clean, même ; le béton a l'air d'une couleur différente de ce dont vous avez rêvé.


> Ignorer l'absence de mégots et simplement dire "C'est ici."
> "J...j'ai d'autres preuves !"
> "Mes souvenirs ne sont peut-être pas si fiables en fait."
> "Vous avez un mec chargé de nettoyer les rebords de fenêtre ?"
> "Vous avez fait reconstruire ce rebord récemment, non ?"
> "Vous avez nettoyé ce rebord pour me donner tort ! C'est un complot !"
> Autre
"Ma plante en plastique a fané. J'ai oublié de faire semblant de l'arroser."
- Mitch Hedberg

Cody

CiterVous suivez le commissaire, déjà toute fière à l'idée de lui montrer que vous n'êtes pas folle.

Je sais pas pourquoi mais ça m'a fait rire !  jvrire

Bon... le rebord... vite fait là, avant de répondre, on a vraiment aucune autre info du genre qui pourrait nous servir de preuve ?  jvhap
"De la peine ? Je n'ai pas de peine. Tu n'imagines pas le calvaire que je vis. C'est comme si on m'éventrait jour après jour et que je perdais mes tripes sur les rochers. Je ne comprends pas qu'aucun de vous n'ait vu tout ce sang..."

HungarianCerveza

Le fait que le rebord soit SI clean peut laisser penser qu'il a été nettoyé, voire reconstruit, récemment. Mais ça peut aussi être un bug de votre implant. Ou c'est peut-être juste que les mégots ne résistent pas longtemps aux conditions climatique extérieures. Ou bien vous avez juste mal regardé jvhap
Si vous tenez à utiliser les autres preuves, il y en a deux : 1 - le lieu de l'assassinat de Joseph dont vous avez quelques souvenirs ; 2 - la valise, en supposant que le commissaire sache quoi que ce soit dessus  jvok
Enfin bref je réitère les choix  jvhap

> Ignorer l'absence de mégots et simplement dire "C'est ici."
> "J...j'ai d'autres preuves !"
> "Mes souvenirs ne sont peut-être pas si fiables en fait."
> "Vous avez un mec chargé de nettoyer les rebords de fenêtre ?"
> "Vous avez fait reconstruire ce rebord récemment, non ?"
> "Vous avez nettoyé ce rebord pour me donner tort ! C'est un complot !"
> "Bon, le vent et la pluie ont nettoyé les mégots, mais ça devrait être là."
> Autre
"Ma plante en plastique a fané. J'ai oublié de faire semblant de l'arroser."
- Mitch Hedberg

Notaproblem

> Ignorer l'absence de mégots et simplement dire "C'est ici."

Le fait qu'il ait accepté, c'est précisément parce-qu'ils ont refait le rebord. Si ça avait pas été le cas, n'importe quel abruti aurait pu errer dans le commissariat en  faisant preuve de fausse confiance et aurait pointé le premier rebord vaguement niqué qui traînait. C'est un commissaire, et il le sait.
Quelque-chose ne va pas ? jvhap

Cody

Le raisonnement de Nota se tient, je le suis.
"De la peine ? Je n'ai pas de peine. Tu n'imagines pas le calvaire que je vis. C'est comme si on m'éventrait jour après jour et que je perdais mes tripes sur les rochers. Je ne comprends pas qu'aucun de vous n'ait vu tout ce sang..."

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