Avr 16, 2024, 03:11 pm

Nouvelles:

Le serveur discord

[Quête] Un appel, un matin...

Démarré par HungarianCerveza, Mai 20, 2018, 10:04 pm

« précédent - suivant »
En bas

Suoʇʇʎ Ԁlɐʇʎdn$


Kait

Bordel, Cody qui joue tout seul !  jvrire

La nuit, le pire danger pour notre aventurier, car Cody rôde pendant que les braves gens sont couchés, et en profite pour faire n'importe quoi.  jvrire
Espérons qu'aucune scène réellement importante ne sera posté pendant une nuit.  jvnoel 

Ah et un Niklefoa bien sûr.  jvok

Cody

C'est vrai que j'ai trop joué tout seul, je vais laisser les autres gérer la confrontation avec la blonde. Si ils veulent prendre le Niklefoa, va pour le Niklefoa. jvhap
"De la peine ? Je n'ai pas de peine. Tu n'imagines pas le calvaire que je vis. C'est comme si on m'éventrait jour après jour et que je perdais mes tripes sur les rochers. Je ne comprends pas qu'aucun de vous n'ait vu tout ce sang..."

HungarianCerveza

Sur la liste des cocktails, vous voyez un "Niklefoa", de préparation fidjienne, avec des petites têtes de morts dessus. Conscient que vous allez avoir besoin de courage pour ne pas merder avec la blonde, vous commandez ça. Le mec qui est à votre droite, en vous entendant dire le nom "Niklefoa", écarquille les yeux, lâche un peu "hé beh !" puis se retourne.

Le verre arrive. C'est une toute petite boisson avec une belle teinte bleue, un peu comme du Curaçao. Un peu déçu par la quantité, vous ingurgitez ça d'une traite...et là, votre gueule change. C'était en effet fort, TRÈS fort.

[Vous gagnez, pour cette soirée, 4 points de Social, vous passez à 7/10]

Vous pouvez littéralement sentir le moment où l'alcool arrive au cerveau. Ce truc est d'une efficacité incroyable. Vous vous sentez prêt.

> Aborder la fille [70% de chance que ça se passe bien] [écrire la phrase d'approche]
> Commander de l'eau
> Sortir du bar et aller vous amuser ailleurs
"Ma plante en plastique a fané. J'ai oublié de faire semblant de l'arroser."
- Mitch Hedberg

Kait

Citer> Aborder la fille [70% de chance que ça se passe bien]

Ok, les gars, faites moins confiance, je suis un expert :

> S'approcher et dire : "Eh mad'moiselle, comment t'es trop charmante, ça t'dirait un diabolo menthe ?"

Avec ce genre de phrase d'accroche on tape dans du 95% de chances de succès facile, prenez-en de la graine. jvok

Suoʇʇʎ Ԁlɐʇʎdn$


HungarianCerveza

Lancé de dés sous le spoil  jvhap
Spoiler: MontrerCacher
Vous savez comment fonctionne le lancer de dés, pas besoin de vous faire un dessin, c'est parti avec un D10  jvok



Merde  jvhap
Ça m'emmerde parce que pour la suite de l'histoire, ça aurait été mieux qu'il réussisse. Mais tant pis, LES DÉS ONT PARLÉS  jvmort


Vous marchez d'un pas décidé vers la jolie blonde. Elle tourne sa tête vers vous, vos regards se croisent. Vous allez lui parler, elle voit que vous avez choisi votre cible. Vous souriez et, avec votre inébranlable confiance, vous lui dites :

"Hey mademoiselle, comment t'es trop charmante, ça te dirait un diab..."

Avant que vous n'ayez eu le temps de finir, la blonde se lève est part à petites enjambées rapides. Elle n'a même pas cherché à vous écouter, elle vous a juste fui. Vous venez de faire un bide dantesque...mais le malaise ne s'arrête pas là.

A votre gauche, à quelques mètres de vous, vous reconnaissez la chevelure rousse de Pauline, qui vous fixe avec un air complètement médusé. Elle soupire en haussant les sourcils, et ce simple petit soupir en dit long, trèèèèès long, sur ce qu'elle pense de vous maintenant. Pauline s'en va, elle aussi.

> Continuer de chercher une fille à draguer
> Faire une partie de billard pour oublier ce bide
> Rentrer chez vous et regarder Bayern - Borussia avec une boite d'aspirine sous la main, au cas où
> La soirée ne fait que commencer ! Je vais sur la plage maintenant !
"Ma plante en plastique a fané. J'ai oublié de faire semblant de l'arroser."
- Mitch Hedberg

Kait

Meeerde...

Bon, putain faut pas laisser se gâcher ce putain de buff de social.

TOUS A LA PLAGE !  jvfou

Cody

"De la peine ? Je n'ai pas de peine. Tu n'imagines pas le calvaire que je vis. C'est comme si on m'éventrait jour après jour et que je perdais mes tripes sur les rochers. Je ne comprends pas qu'aucun de vous n'ait vu tout ce sang..."

HungarianCerveza

Spoiler: MontrerCacher
Malheureusement, la blonde est partie et à moins d'une chance considérable, vous ne devriez pas la recroiser. Mais aller sur la plage, ça devrait pouvoir se faire  jvhap


Vous sentez bien que la drague de parfaites inconnues dans un bar, c'est pas encore ça. Vous avez merdé, c'est vrai. Mais il n'est pas trop tard pour réussir votre soirée, c'est pourquoi vous décidez d'aller à la plage, histoire de profiter de la mer et du crépuscule.

A pieds, vous vous tapez toute la route qui mène jusqu'à la plage de Weisshagen. Cela vous oblige à traverser les vieux quartiers touristiques et le complexe hôtelier plein de vacanciers, mais en cette période scolaire (qui plus est, en semaine), ça devrait être tranquille. Pour quelqu'un d'aussi bourré que vous, c'est parfait.

Après une demi-heure de marche où vous avez profité du calme des vieux quartiers, vous arrivez enfin sur la plage. L'air est frais, mais il n'y a pas de vent. Comme prévu, il n'y a presque personne sur la plage, hormis des mecs à dreads qui fument autour d'un feu de joie improvisé.

> Vous baigner
> Vous détendre, assis dans le sable
> Marcher un peu le long de l'eau
> Revenir chez vous et vous re-taper une demi-heure de marche
> Aller parler aux mecs à dreads
"Ma plante en plastique a fané. J'ai oublié de faire semblant de l'arroser."
- Mitch Hedberg

Cody

Hors de question d'aller voir les mecs à dreads si c'est pour replonger.

> Se promener le long de l'eau
"De la peine ? Je n'ai pas de peine. Tu n'imagines pas le calvaire que je vis. C'est comme si on m'éventrait jour après jour et que je perdais mes tripes sur les rochers. Je ne comprends pas qu'aucun de vous n'ait vu tout ce sang..."

HungarianCerveza

Vous décidez qu'il est temps pour vous de revenir à la sérénité, en marchand au bord de l'eau, histoire de faire le vide dans votre tête. Vous êtes seul, mais vous êtes tranquille. Vous déambulez quelques minutes le long de la plage ; les vagues viennent s'écraser à vos pieds, et leur bruit vous détend. Vous regardez votre portable : il n'est que 22h45, mais vous avez déjà envie de dormir.

Vous vous asseyez dans le sable ; cette petite balade vous a reposé. Voilà, tous le stress accumulé aujourd'hui a disparu, et maintenant, vous vous sentez bien, très bien. Tous les petits bruits des environs vous bercent : le déferlement des vagues, les oiseaux, les chuchotis des rastas, le crépitement des flammes...

Vous fermez les yeux...















"Houla...houlala..."

D'une geste rapide, vous prenez votre crâne entre vos mains. Vous avez l'impression que votre cerveau se fait écraser, vous avez envie de vomir et tous vos muscles vous tiraillent. Vous ne vous sentez PAS bien du tout.

Il vous faut quelques secondes pour réaliser que vous êtes dans une chambre d'hôpital, et qu'il fait désormais jour, dehors. Vos yeux s'habituent progressivement à la forte luminosité de la chambre, mais ce n'est pas agréable. Une voix très grave, mais douce, s'adresse à vous.

"Ah, c'est bon, réveillé ?"


Cette voix, c'est celle du patient dans l'autre lit, un vieil homme à l'air affable.

"Que...quoi ? Qu'est-ce que je fais ici ?"
"Je vais vous expliquer..."
dit le vieux. "On vous a retrouvé allongé sur la plage, complètement sonné par l'alcool, rond comme une queue de pelle. Pendant un moment, les gens ont cru que vous étiez mort. Du coup ils ont appelé les secours, et vous voilà à l'hosto. Et la douleur que vous ressentez là, c'est une gueule de bois, bravo."
"Je...euh...wow..."


Vous balbutiez. Impossible pour vous de dire quoi que ce soit ; vous ne vous souvenez de rien. C'est comme si vous vous étiez téléporté de la plage à l'hosto en un battement de cil.

"Ne dites rien. Niklefoa ?"
"Q...quoi ? Attendez, comment vous savez ?"
"Le Niklefoa, c'est une spécialité de Weisshagen. Quand des touristes viennent, ils essayent notre cocktail emblématique. Et à chaque fois, c'est la même rengaine : ils voient qu'on leur sert ça dans un tout petit verre, ils croient qu'ils peuvent l'avaler cul sec, et quelques heures plus tard, tu les retrouves à l'hosto avec une gueule de bois tellement forte que si ils se rasent, ça fait des copeaux. J'ai été jeune moi aussi, j'en ai bu des Niklefoa...ça aide à se sentir bien, mais le retour de flammes au lendemain est brutal. C'est dévastateur, mais on y retourne volontiers la semaine suivante, héhéhé !"
"Ah...ouais, alors je suis pas le premier..."
dites-vous en souriant bêtement.
"Ça, je vous le fais pas dire. Au fait, moi c'est Hans."
"Moi c'est Ben...enchanté..."


Maintenant que vous savez tout, vous n'avez plus qu'à attendre votre sortie de l'hosto.

[A cause de votre forme, vous perdez un point en tout : vous avez maintenant 3 en Physique, 0 en intelligence et 2 en social]


Et là, STOP ! C'est l'heure de prendre une décision MAJEURE ! Voulez-vous...

> Attendre 12h pour sortir de l'hôpital et rentrer chez vous -et reprendre l'histoire-
> Vous lancer dans une quête secondaire interne à l'hôpital (qui vous permettra, peut-être, de retrouver vos points de compétence perdus)
"Ma plante en plastique a fané. J'ai oublié de faire semblant de l'arroser."
- Mitch Hedberg

Cody

Hé ho c'est quoi cette arnaque ? C'est pas parce que t'as une gueule de bois que tes muscles fondent définitivement et que tes neurones explosent à jamais. jvhap
"De la peine ? Je n'ai pas de peine. Tu n'imagines pas le calvaire que je vis. C'est comme si on m'éventrait jour après jour et que je perdais mes tripes sur les rochers. Je ne comprends pas qu'aucun de vous n'ait vu tout ce sang..."

HungarianCerveza

C'est un effet secondaire du Niklefoa  jvhap
"Ma plante en plastique a fané. J'ai oublié de faire semblant de l'arroser."
- Mitch Hedberg

Cody

Bon bah tant pis. Au moins si on reste à l'hosto on va ptet tomber sur des infirmières mignonnes. jvhap

> Partir sur la quête secondaire
"De la peine ? Je n'ai pas de peine. Tu n'imagines pas le calvaire que je vis. C'est comme si on m'éventrait jour après jour et que je perdais mes tripes sur les rochers. Je ne comprends pas qu'aucun de vous n'ait vu tout ce sang..."

En haut